Arkéa Ultim Challenge Brest : Bon vent, belle mer !

Publié le 07/01/2024

Météo splendide, lumières des matins brestois ensoleillés, et quais noirs de monde ! Les skippers de l’Arkéa Ultim Challenge Brest n’auraient sans doute pas pu imaginer de telles conditions pour le départ de leur course autour du monde. Car ça y est : ils sont partis !

Des gens regardent un bateau partir.
Arkéa Ultim Challenge Brest - Entre 40 et 50 jours de mer attendent les concurrents. - ©Damien Goret

Course d’exception, moment d’exception…

Sur les quais du port de commerce noirs de monde, et après une dizaine de jours de fête qui ont animé les fêtes de fin d’année, l’Arkéa Ultim Challenge Brest s’est élancé ce 7 janvier dans une atmosphère de poésie typiquement brestoise.

Des bolides gigantesques

Entre un soleil d’hiver aveuglant, un croissant de lune bien visible au petit matin et ce ciel bleu comme seul horizon, les six skippers de cette course autour du monde à bord de leurs bolides gigantesques ont quitté les quais à 10 heures précises.

"C'est vraiment Brest même !"

Des quais du port de commerce à la digue de la Marina du château, une foule compacte portant les mêmes sourires émerveillés et témoignant du même sentiment : ce qui s’est joué à Brest depuis le 29 décembre et jusqu’à ce 7 janvier est un moment magique, unique et fédérateur.

Une fantastique communion qui a fait dire à Thomas Coville, au moment d’embarquer sur son bateau et levant les bras au ciel : « Ici, c’est vraiment Brest même ! ».

Place au sport

Place désormais au sport !

Thomas Coville, Armel Le Cléac’h, Tom Laperche, Anthony Marchand, Eric Péron et Charles Caudrelier sont maintenant seuls à la barre de leurs multicoques superlatifs.

Face à eux, un défi inédit : quelque 40 000 kilomètres à avaler dans des conditions souvent extrêmes, trois caps à passer, et une cinquantaine de jours de course à réaliser en solitaire avant un retour à Brest.

Bon vent, messieurs. Et belle mer !