La ville de Brest poursuit son engagement pour les enfants, et a de nouveau été reconnue Ville amie des enfants par l’Unicef.
C’est à l’école publique Paul Dukas, dans le quartier de Kérédern que la ville de Brest a confirmé, ce vendredi 31 mars, son engagement en faveur des enfants. François Cuillandre maire de Brest et la présidente du comité Unicef Bretagne, Danièle Barbedette, y ont signé la convention qui lie les deux entités au service de la cause des enfants.
C’est à l’école publique Paul Dukas, dans le quartier de Kérédern que la ville de Brest a confirmé, ce vendredi 31 mars, son engagement en faveur des enfants. François Cuillandre maire de Brest et la présidente du comité Unicef Bretagne, Danièle Barbedette, y ont signé la convention qui lie les deux entités au service de la cause des enfants.
Un engagement renouvelé
Pour la troisième fois, la ville de Brest a ainsi été reconnue Ville amie des enfants par l’Unicef en 2022. La convention signée le 31 mars à l’école Paul Dukas vient rappeler l’action de la ville, sur son territoire, pour le bien-être des enfants, aux côtés des 297 collectivités engagées à ce jour sur le même chemin.
Quatre axes
Le titre de ville amie des enfants s’appuie sur quatre axes :
- Le bien-être de chaque enfant et chaque jeune
- La lutte contre l’exclusion, la discrimination et pour l’équité
- Un parcours éducatif de qualité
- La participation et l’engagement de chaque enfant et de chaque jeune
« Nous avons voté hier le budget de la ville de Brest, et l’éducation y figure en premier lieu. C’est pour nous la dépense prioritaire, car cela signifie préparer l’avenir de la meilleure façon qui soit », a rappelé François Cuillandre en signant la convention Ville amie des enfants.
Les enfants au cœur du projet
Et pour illustrer cet engagement au service de l’éducation de tous les enfants, le choix de venir découvrir le réaménagement de la cour de l’école publique Paul Dukas était particulièrement parlant.
Ici comme dans d’autres écoles de la ville, l’évolution des espaces extérieurs s’est faite en concertation avec les enseignants, les parents, les personnels du périscolaire mais aussi et surtout avec les enfants. Ces derniers ont en effet travaillé sur leur cour idéale, en prenant en compte la nécessité d’espaces communs, de nature etc.
L’école à ciel ouvert
Ce travail a ensuite été traduit en plans bien concrets par les services de la ville et de la métropole… pour transformer cet espace longtemps bitumé de toutes parts en une cour végétalisée, où des zones de repos, de jeux et de nature se croisent. L’ensemble a été largement ouvert sur le quartier, avec un nouvel aménagement végétal. Tandis qu’un portager et un poulailler achèvent de compléter cette extension des salles de classe à ciel ouvert.
Les travaux, d’un montant d’un peu plus de 130 000 euros ont bénéficié d’un financement de l’agence de l’eau pour 27 000 euros.
Une belle réussite, dont la méthode participative est inscrite dans la convention signée entre la ville et l’Unicef.