Quelque 200 millions d’euros pour le nouveau contrat métropolitain
Jusqu’en 2027, 200 millions d’euros vont servir à accompagner les grands projets et le développement de la métropole brestoise et d’une grande partie de son territoire. Une enveloppe qui découle du nouveau contrat signé, le 12 juillet, entre l’Etat, la région Bretagne, le département du Finistère et Brest métropole.
« En matière d’enseignement supérieur, de recherche ; en faveur du développement urbain ou de la transformation de certains équipements ; ou à destination des grands projets de mobilité, comme celui qui s’annonce de deuxième ligne de tramway et de bus à haut niveau de service… Nous signons aujourd’hui un nouveau contrat métropolitain qui va courir jusqu’en 2027, et qui va servir au développement d’un territoire entier. »
Les mots sont de François Cuillandre, président de Brest métropole, et il les a prononcés le 12 juillet, à Océanopolis, au moment de la signature du nouveau contrat qui lie l’Etat, la région Bretagne, le département du Finistère et Brest métropole jusqu’en 2027.
Financer les grands projets
Document cadre d’une extrême importance, le contrat métropolitain va ainsi permettre de financer les grands projets qui développeront encore l’attractivité de la pointe bretonne.
Car il y a une impérieuse nécessité d’équilibre entre l’Ouest et l’Est de la Bretagne, a analysé Emmanuel Berthier, préfet de la région Bretagne. Ce nouveau contrat vient donc stabiliser la volonté de tous les partenaires qui veulent accompagner des projets qui s’avèrent aussi coûteux que stratégiques. »
Des exemples de projets
- La deuxième ligne de tramway et la première ligne de bus à haut niveau de service
- Le renouvellement urbain en cours à Bellevue ou Recouvrance
- La mue à entamer du côté d’Océanopolis pour assurer une nouvelle jeunesse à cet équipement symbole de l’excellence maritime brestoise
- Le soutien aux secteurs des sciences et technologies marines…
La métropole brestoise est une chance
« La métropole brestoise est une chance pour tout le département, qui abonde à hauteur de 50 millions d’euros dans ce nouveau contrat », a assuré pour sa part Maël de Calan, président du département du Finistère.
Loïg Chesnais-Girard, président de la région Bretagne, a pour sa part évoqué « l’importance de voir ce territoire demeurer attractif, que l’on soit étudiant, chef d’entreprise ou que l’on vienne simplement y chercher une qualité et un cadre de vie. »