L’offre locative va s’élargir sur le Technopôle Brest-Iroise

Publié le 25/02/2022

Soumis à un marché immobilier d’entreprises particulièrement tendu, le Technopôle Brest-Iroise va accueillir, fin 2022, la première tranche de l’Ocean tech center, une structure conçue à partir de l’ancien hôtel d’entreprises du Vernis. Un projet à 7 millions d’euros.

Actu 2022 -  L’offre locative va s’élargir sur le Technopôle Brest-Iroise

« On encourage le développement économique sur le territoire via la Sempi, dont c'est l'un des coeurs de métier », a annoncé Michel Gourtay, président de la société d’économie mixte de portage immobilier (Sempi) dédié à l’entreprise, structure à l’initiative des grands travaux qui ont actuellement cours au niveau du Technopôle Brest-Iroise.
Là, voisin direct de l’hôtel du Belvédère et riche d’une vue sur la rade à couper le souffle, va s’installer, fin 2022, l’Ocean tech center, destiné à élargir l’offre locative dans une zone où la demande est forte

4 200 m² de bureaux

« Nos immeubles sont pleins, témoigne Christian Clément, directeur de la Sempi. Voilà qui devrait bien résumer la situation immobilière sur le Technopôle Brest-Iroise. L’Ocean tech center va venir offrir 4 200m² de nouveaux bureaux, installés à l’endroit où il y avait l’ancien hôtel d’entreprises du Vernis devenu vétuste, et propriété de Brest métropole. »
Avec un coût estimé à 7 millions d’euros, la naissance de l’Ocean tech center va consister en la réhabilitation complète de deux ailes précédemment existantes et en la construction d’un nouveau bâtiment.

La livraison des premiers locaux, pour 3 000 m² de surface, est attendue dès la fin d’année, tandis que les 1 200m² restants seront achevés en décembre 2023

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aux technologies marines

Les chantiers de l’Atlantique, déjà hébergés au sein de l’ancien hôtel d’entreprises du Vernis, ont déjà fait savoir qu’ils souhaitaient demeurer dans la nouvelle infrastructure, imaginée par O architecture.

« Nous avons assez peu de doutes sur le fait qu’elle se remplira aisément, pose encore Christian Clément. La demande existe et le secteur est idéal pour tous types d’entreprises qui œuvrerait dans le domaine des technologies marines. »

La commercialisation des bureaux, pensés comme des cellules autonomes de 80 m² minimum, a déjà débuté